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It's better when you're not there.
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29 septembre 2007

Tout ira bien.

Aïe.
Ça va mieux ?
Ça change tout.
Et tu pleures… Mais c’est quand les autres n’étaient pas là.

Ça y est, on a parlé seul à seule, tête à tête d’une heure et d’mie. Et ça y est, j’ai maintenant de bonnes raisons de crever. Bah ouais, crever quoi…

Tu n’m’aimes pas, tu m’l’as dit tout à l’heure… Mais tu m’as dit aussi que tu m’voyais comme une fille bien, une Amie, avec un grand A. Tu m’as dit que tu sortirais avec moi sans aucun problème, si ça pouvait m’soulager de c’putain d’poids, que j’ressens quasiment depuis qu’on s’connaît [J’aime enfin, ça y est…]. Mais non, on n’fera pas ça, on n’sera pas ensemble, car t’as essayé d’m’aimer, t’as essayé d’nous imaginer tous les deux, et l’image qui s’est formée dans ton esprit était bien… Mais tu n’m’aimes pas, alors à quoi bon te sacrifier pour que moi [Tu es une des rares personnes à qui je n’veux pas pourrir la vie, et j’le fais contre mon gré…], je puisse aller mieux, ce qui n’serait même pas l’cas, sachant que l’homme qui me serrerait contre lui ne m’aime pas… Et qu’il en est si terriblement désolé… [Vraiment, Marie…]. On a envisagé des solutions pour que j’t’oublie [Même sur le long terme…], mais toutes sont totalement connes, débiles ou impossibles, quand c’pas les trois à la fois… Tu n’veux pas ne plus être mon ami [Bawi, j’suis bien quand j’suis avec toi, j’passe d’excellents moments !], et pourtant tu le ferais, si ça pouvait m’aider. Tu sais que c’est impossible qu’on n’se voit plus, qu’on n’tripe plus, qu’on n’joue plus… Bref, c’est impossible [Et autant pour toi qu’pour moi j't'assure !]. J’t’ai dit que tu étais un homme exceptionnel, que j’aimais ton visage, tes mains, tes yeux… J’te l’ai dit, que je t'aimais. [Bah y’a rien d’autre à dire, c’comme ça, point.].
Alors tu m’as dit que si tu tombais amoureux d’une autre, tu hésiterais entre elle et moi. Mais alors où est le 'problème' ? Peut-être que si nous étions ensemble, tu tomberais amoureux d’moi […]. Et bien sûr, j’ai pas « osé » t’dire ça…
Et là, au son de Sadness and Sorrow, les larmes coulent sur mes joues, amères.

C’moche. [C’moche.].


                                                                          J’t’aime.

[Et tu m’as prise dans tes bras, " ça va aller "…]

main_bouche

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